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4 mai 2018 5 04 /05 /mai /2018 05:25
Avant/après: le climat. [RP VS Perpi].

Voilà un élément qui revient dans les conversation, sans doute le numéro 1.

Le temps qu'il fait.

 

Quand nous avons quittés Paris il y a 6 ans et demi pour Perpignan, c'était évidemment ce dont on nous parlait le plus. Et une des 3/4 trucs qui nous faisaient rêver!

Nous étions venus à Perpignan en vacances, l'été, au printemps, et aussi en automne et ça s'était à chaque fois vérifié: il y fait drôlement beau, chaud, aucun rapport avec le climat froid et humide de la capitale.

Certes.

 

Mais il y a un mais.

Car tout n'est pas si idyllique que les Nordistes peuvent le penser.

 

Alors on ne va se mentir: oui, il fait bien bien bien meilleur qu'à Paris. Mais bien.

 

Avec 300 jours d'ensolleillement par an, le département des Pyrénées Orientales est un des plus enviables en France.

 

L'automne est souvent très doux et agréable. Je ne range les chassures ouvertes qu'en novembre et in n'est pas rare que nous puissions nous baigner jusqu'aux vacances de la Toussaint.

 

L'hiver est doux aussi, il nous arrive régulièrement de déjeuner dehors à Noël et d'avoir un 1er janvier à la plage avec 20 degrés. Cette année, pour la traditionnelle baignade du premier de l'an, l'eau était à 17 et sur le sable on était en tshirt avec 25 degrés.

 

Le printemps est changeant et du genre humide, en Catalogne. Un jour c'est l'été et on se baigne dans la mer à peine trop fraîche, le lendemain il pleut des seaux. Quand les journées estivales tombent le weekend, c'est déjà un peu les vacances. Il y a aussi régulièrement des régressions, jusqu'en mai, ou on passe des bras nus aux écharpes et pulls en 24h. Je me souviens avoir remis du chauffage mi mai l'an dernier. Bon, on devient frileux aussi, en devenant Perpignanais.

 

L'été c'est un enchantement. Il fait beau et très chaud, mais ce n'est pas étouffant car on a le vent .Là où, à Paris, on ne pouvait ni respirer ni dormir, ici on a toujours un souffle d'air et les soirées sont agréablement fraîches. Ca permet de se ressourcer. Loin est le temps où je ne supportais pas les 40° parisiens du mois d'août, à cuire dans le RER et à chercher la clim.

 

Mais il y a un revers.

 

D'abord, ce vent qui est un alié pour les chaleurs estivales est aussi sacrément pénible quand il s'enerve le reste du temps. Et la tramontane a l'énervement facile. En fait j'ai découvert ce qu'est le vent en venant vivre ici car...c'est un peu le pays du vent. Bruyant, entêtant, il nous empêche parfois toue activité extérieure bien plus sûrement que le froid humide parisien. Il n'est pas rare qu'il souffle à plus de 90 km/h, et qu'on soit en alerte jaune./orange/rouge vent violent.

On s'y habitue, ou pas. Moi ça va, je pense m'y faire mais l'homme a toujours du mal.

 

L'autre revers de ce climat chaud: les phénomènes climatiques plus extrêmes.

 

J'ai découvert ici les alertes vent violent, mais aussi les alertes inondations, pluie, submersion, et une couleur dont j'ignorais l'existence: les alertes violettes.

Une à deux fois par an, on est en alerte rouge quelque chose, vent ou inondation. Ca peut être flippant parfois, et je suis contente de ne pas avoir choisi une maison en zone inondable.

 

Lecteurs nordistes, en effet ici le temps est doux mais parfois, ça se paye!

 

 

 

 

 

 

 

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 06:18

Encore un Noël à trois.

L'an dernier, ça ne m'avait pas gênée.

L'année d'avant, si.

Je crois que je suis cyclique du Noël "sans famille".


Cette année, j'aurais aimé faire une grande fête, avec Cromignon.

 

repas-de-famille

 

On va le faire, bien sûr.

 


Une jolie table, des bougies, des bonnes choses à manger.

Une belle tenue pour moi, le déguisement du Père Noël pour le petit (mais ça n'a rien d'exceptionnel ça!).

Des chants de Noël.

Des sablés et un verre de lait sous le sapin.

 


Après le repas, on regardera ensemble un joli dessin animé de Noël.

 


Le lendemain, ce sera la fête.

Cromignon ouvrira ses cadeaux, et on passera la journée à jouer avec ses nouveaux jouets.

Ce sera chouette.

 

Mais cette année je voulais plus pour Cromignon. Il est tant dans l'esprit de Noël, et pas qu'en ce moment.

Je voulais que ce soit plus exceptionnel encore. Je voulais que ce soit plus qu'ouvrir ses cadeaux avec ses parents.


Je voulais, une grande table avec trop de nourriture. Plein de monde. Du bruit. Des rires d'enfants. Des courses endiablées. Des bisous mouillés et piquants. Des tontons, tatas, cousins, copains. D'autres enfants pour jouer, rire, se disputer un peu aussi. Des discussions à n'en plus finir. Des chocolats grignotés entre les plats parce que c'est si long qu'on ne sait plus si on a encore faim.

 

Mais voilà, j'ai choisi de vivre loin du peu de famille que j'ai, des amis d'enfance ou presque chez qui on s'invitait sans façons le 24 au soir. Ca doit être un des prix à payer.

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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 05:34

Avant tout, j'oublie Paris et la pluie, son ciel gris, et tout ça...*

 

 DSCF3200.JPG

 

J'oublie le mauvais, je me souviens du bon.

J'oublie les embouteillages, le stress, la course. 

Je me souviens des copains, des repas, des fêtes, du shopping avec ma soeur.


Je me souviens des musées, des ateliers enfants de La Villette et du Louvre, du centre Kapla. de la Pouillette qui fait des stages de théâtre à la Comédie Saint Michel.

Du jardin d'acclimatation.

Des vitrines de Noël des Galeries Lafayette, qu'on allait voir chaque année, en mangeant des marrons chauds.


Des Champs-Elysées le dimanche.

De la Tour Eiffel illuminée, le soir.

De la plus belle ville du monde sous le Soleil.

De la bibliothèque François Mitterand.


Des frites croustillantes mangées à l'arrache entre deux cours, à la fac de Saint-denis.

Des pizzas les soirs de mai, avec les amis, au jardin.

Des restaus, des bars, des balades nocturnes.


De la Grosse Crèpe impossible à finir, sur les Grands Boulevards, à 2h du matin.

Des concerts de petits artistes surdoués sur les escaliers de Montmartre.

Des cinés, des théâtres, de la fois où j'ai invité mon père pour "Le Diable et le bon Dieu" de Sartre.


Du parc de la Courneuve qui nous a vues grandir, ma Pouillette et moi, et où j'ai usé plusieurs paires de runnings par tous les temps.


Des brunchs près de l'Hôtel de Ville.


Des concerts au Zénith, à Bercy, mais aussi dans des petites salles un peu partout. De Goldman au New Morning en 1994.

Des promenades sans but, les dimanches en été.


Des deux garçons qui m'ont dit "Que la force soit avec toi" au Burger King des Champs, un midi de l'été 1998.


Des fous rires et des rencontres merveilleuses dans tous les petits jobs où j'ai usé tant d'heures.

De l'Ecole du micro d'argent dans mes oreilles, pendant un an, lors de mes 4h de transport quotidiens.


De la calèche et du Guingnol du parc de Buttes Chaumont, où m'emmenaient toujours mes grands parents.

De la cité derrière chez moi, que j'ai traversée une fois en pleine nuit et en pyjama. Où j'allais faire du roller, promener mon chien. Et puis fumer des clopes, plus tard.


De la foire du Trône.

Des bons grecs-frites à Saint-Michel.

Des petites, toutes petitss boîtes de nuit dans les caves du 6ème et du 13ème. Qui passaient de la salsa et du Claude François, du zouk et de la dance.

 

Je me souviens de Paris. Et j'en pleure encore.

 

 

 

 

 

*Orishas

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 08:41

Avant, quand j'étais parisienne, j'ai déménagé plusieurs fois. Je suis allée vivre dans Paris même, et dans deux banlieues du 93.


A chaque fois, la vue de mes fenêtres me montrait des voitures, une rue, ou un parking.

Au delà, rien. D'autres immeubles. Pour voir le ciel, il fallait se pencher par la fenêtre.


Dans la rue, on ne voyait pas l'horizon. Il était bouché par d'autres immeubles, partout.


Aujourd'hui, je vis à Perpignan.

De mes fenêtres, je vois des arbres, avec, 300 jours par an, du soleil dessus. Des fleurs aussi. Et je vois le ciel, même de la fenêtre de ma chambre!


Et quand je sors dans la rue, non seulement je vois le ciel, mais je vois aussi les montagnes, la ligne d'horizon, le tout environné de palmiers...DSCF8957.JPG

Alors pour ce match, à moins que tu n'aies une phobie des palmiers et des montagnes, je crois bien que Perpi gagne, par K.O.!

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 20:57

repas.pngAvant, j'étais parisienne. Et quand tu es parisienne, et que tu as faim, eh bien, tu manges (quand tu as de quoi payer, of course). Ce que tu veux. A l'heure que tu veux. Ou presque.


Je te cadre le cas d'école: après le boulot, je vais à la piscine. Ensuite je rentre, il est 19h30. La Pouillette est affamée, l'homme est affamé, je suis GRAVE affamée. A midi j'ai mangé en 15 minutes une soupe et une salade. J'ai LES CROCS!

Tu excuseras cette expression triviale, qui a le mérite ici de bien exprimer le fond de ma pensée.


Je dois donc trouver de quoi nous sustenter tous et très rapidement, la crise d"hypoglycémie guette.


Soit je fais cuire des pâtes et je mets du gruyère et du jambon avec. Déséquilibré, ça manque de légumes, je ne me suis pas tapée 100 longueurs pour me goinfrer après.


Soit je prends une des innombrables pub de ma boite aux lettres, ou encore je me connecte sur Allorestau, et on fait notre choix. Du chinois? Des sushis? Du tex-mex? Ou Libanais? Sinon une grosse salade?

En 1/2h je serais livrée et on en aura pour 15 euros à trois.

 

Maintenant même situation à Perpi. (sauf que je ne re-bosse pas encore et que je ne nage plus 100 longueurs...).

Les sushis, tu oublies. Il y en a certes (n'est ce pas C., merci de la découverte!), mais peu, et chers, surtout en livraison.

Le libanais, tu oublies, il y en a deux en centre ville, chers, et ils ne livrent pas.

Le chinois? Testé une fois celui près de chez moi. Verdict: cher, et très étrange. Du chinois catalan. Le mec avait mis du chorizo dans le riz cantonnais. Je te jure que c'est vrai! On oublie.

Le tex -mex? Il n'y a que de vagues "El Rancho": mauvais, et ils ne livrent pas. Pas trouvé non plus de grosses salades à se faire livrer.


Que reste-il? Que mangent les sudistes dans ce genre de situation?

Des McDo. Des kebabs. Et surtout...Des pizzas. Je ne te raconte même pas toutes les pizzerias vite fait qu'il y a ici, sans parler des camions pizza! Rien que dans mon petit bled de 6000 âmes, il y a 3 camions pizza et 2 pizzerias!!

Je n'ai rien contre, une fois de temps en temps, la malbouffe. Mais je suis pour limiter quand même. Passer du sushis une fois par semaine à la pizza ou au mcdo, c'est non.


Donc...pâtes au jambon, et j'ouvre avec vite fait une boîte de haricots verts!

 

3ème round remporté haut la main par Paris, profitez les gars!

 

Et c'est aussi mon mercredi gourmand, pour AnneLaureT!

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 08:15

Avant, je vivais dans le 93. Oui, je sais, tu commence à la savoir. Mais, c'est l'histoire de ma vie quand même, se barrer à l'autre bout de la France, sans y connaître personne! Faut le faire, non?


Bref. Beaucoup de choses ont changé. Beaucoup en mieux. Certaines en moins bien. 


Aujourd'hui je vais te parler des déplacements.


Dans le 93, j'avais des amis qui vivaient en moyenne à 10km à la ronde. Il y en a que je ne voyais que très peu. Motif: il fallait 2h de bagnole aller et 2h retour pour se voir chez l'un ou chez l'autre. Et le soir après le taf, 4h de bagnole, dans les embout', avec la pluie et le froid, ben c'est non. Surtout que si mon amie, par exemple habite dans le 14ème arrondissement de Paris, il va falloir en prime perdre 3/4 d'heure pour me garer à peu près convenablement (une livraison...).

Et tu sais quoi, ami provincial qui ignore les joies de la vie à la Capitale? Je n'exagère pas. Il m'est réellement arrivé de faire 2h de route pour aller dans le 14ème, soit 10km environ. Vraiment. A la fin je sortais assez peu finalement, la moindre balade, le moindre ciné se transformait en perte de temps colossale dans les embouteillages. Vivre dans la plus belle ville du monde, et ne pas en profiter parce qu'il y a trop de gens, c'est ballot, quand même.


Perpignan est tout de même une grande ville. Dans les avis des internautes, sur divers forums, j'ai regardé ce que les Perpignanais avaient à reprocher à leur ville. Et, étonnement, j'ai lu plusieurs témoignages reprochant à la ville ses nombreux et pénibles embouteillages. Déconvenue, pour moi qui fuyais aussi Paris pour son engorgement de masse. 

Il faut penser qu'il y a un peu plus de 100 000 personnes qui vivent à Perpi. On est loin des 15 millions de la RP, mais effectivement s'ils vont tous au Mac Do en même temps, ça peut bouchonner, quand même.


Et puis je suis venue, et j'ai vu. Et j'ai vécu. Arf.


Quand tu quittes le périph' parisien,, les embouteillages perpignanais n'ont pas droit à ce nom. Je les appellerais "ralentissements". Parfois, on doit lever un peu le pied, entre 8h et 9h, et entre 17h et 18h. Re-arf.

C'est là que j'exagère un peu. Il m'est tout de même arrivé de tomber dans un embouteillage à Perpi, sur le pont nord surtout, ou la route de Canet, et de perdre...1/4 d'heure, facile, sur le temps de trajet prévu. Je peux re-re-arfer?


Si ma vie a changé, c'est aussi parce que le temps est différent ici. Mes trajets quotidiens se sont drastiquement réduits, comme le gras sur la table de Kate Moss au régime.


Voilà un petit comparatif:

Aller au taf: dans le 93, 15 minutes (bah oui, j'avais la chance d'habiter près de mon collège). Ici, 15 minutes (mon collège n'est pas du tout à côté, mais ça revient au même!)

Emmener la Pouillette à l'école: dans le 93, 1/2h. A 8h30 c'est le temps qu'il faut pour traverser la moitié de la ville de St Denis en voiture, soit 3km. Ici, 5 minutes à pieds donc 1 minute en voiture.

Emmener la Pouillette à la gym: dans le 93, 1/2h. Pareil, 3km, mais à 18h cette fois. Ici: 3 minutes en voiture, je n'y vais pas à pieds parce qu'il y a une grosse montée au retour.

Aller au théâtre, au ciné, à une expo, un musée: dans le 93, 1h. Où que ce soit. Que ce soit en transports ou en voiture, mais en voiture il faut prévoir 1/2h de plus pour se garer. Ici: 20 minutes, maxi, si c'est loin. Sinon je prévois 1/4 d'heure en général, temps de garage compris.

Faire ses courses: ouh la. Dans le 93, 3h. Donc on faisait livrer. Ici: 1h en tout, temps de rangement des courses compris.

 

Il n'y a pas photo, les jeunes: Perpi gagnant par K.O.

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 06:00

DSCF7629Comme tu le sais si me lis de temps en temps, je suis une nordiste exilée volontaire dans le sud. Il y a un an, nous sommes partis, l'homme, la Pouillette, le Cromignon de 11 jours, le lapin et moi. Nous avons laissé le 93, où je vivais depuis toujours (à part une parenthèse parisienne intra muros de quelques années). 

J'ai quitté le peu de famille que j'ai. J'ai quitté mes amis. Mon collège où je bossais depuis 11 ans.

Je suis arrivée à Perpignan. Le soleil, la mer, la montagne, l'Espagne, et le vent, ont changé ma vie.

Je commence une petite rubrique dans laquelle je vais parler de ce qui a changé...pour que les amis parisiens rêvent encore plus, où cessent de rêver!

 

Je vais te parler d'un truc fort glamour. Le linge. Corvée s'il en est.


Dans le 93, je vivais dans 65m2. Avec un chouette balcon, vachement grand. Mais vu qu'il fait froid et humide 10 mois par an, pas moyen d'étendre son linge dehors. Vu que l'appart est petit, pas moyen de mettre un grand étendoir où que ce soit. Donc on a mis des fils au dessus de la baignoire, et on étend le linge là.


Comment rendre une tâche ingrate, étendre le linge, encore plus ingrate? En devant pour la mener à bien:

-vider la machine dans une bassine.

-transporter la bassine dans la salle de bain

-poser la bassine en équilibre vachement instable sur le lavabo

-escalader la baignoire, sans chaussettes, parce que sinon, boum, comme dirait le Cromignon

-prendre le linge et, tout en évitant de perdre l'équilibre (sinon re-boum, comme le redirait le Cromignon, qui de toutes façons dit "boum" 300 fois par jour) étendre tant bien que mal, et donc mal, le linge.


Une fois sur deux, tu te casse la gueule, tu fais tomber la bassine sur le sol avec tout le linge mouillé par terre, il n'y a pas assez de place pour tout étendre. Invariablement, tu te fais un torticolis. Et tout aussi invariablement, ton linge mettra 4 jours à sécher entre octobre et mai. 3 jours les autres mois.

Et il va puer une fois sur deux.

La salle de bain sentira également le chien mouillé.

Charmant, quoi.

 

En arrivant à Perpi, j'avais un appart de 100m2. Déjà, on respire.

La machine à laver se trouvait dans la cuisine, qui donnait sur un balcon, sur lequel était installé un séchoir. Tu as suivi? Sinon regarde la photo au-dessus, c'est parlant.

 

Comment transformer une tâche ingrate en moment sympa et frais? Comme ça, ma bonne dame:


-vider la machine dans une bassine. En ce qui me concerne, c'est la même bassine, elle a suivi. Mais tu fais ce que tu veux hein, tu peux t'en payer une autre pour marquer le coup. 5 euros chez Babou.

-faire 4 pas pour se retrouver sur le balcon. Non, je n'ouvre pas la fenêtre avant, car la fenêtre est toujours ouverte. Ben oui. (bon je frime là, on ferme de décembre à février).

-poser la bassine sur la petite table.

-étendre son lige dans le vide.

-Faire tomber une pince à linge et un body du Cromignon,  dans le jardin du voisin du dessous, charmant monsieur qui me les rendra en rigolant. (j'ai toujours fait extrêmement attention à ne pas faire tomber de culotte...).

C'est fini.

 

Match 1: Perpi gagnant par K.O.!

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Le Blog Des Petits Diables

  • : Petits Diables
  • : Ancienne parisienne partie au bout de la France, je raconte mon petit bout de chemin. A la maison, nous sommes 5, Polochon, le Cromignon, la Pouillette, l'homme et moi. Ca en fait des histoires! Adepte du portage, des couches lavable, de l'éducation non-punitive, du no-poo, des cosmétiques clean, maman allaitante mais pas militante, randonneuse dans l'âme et dans les pieds, et plein d'autres trucs encore...
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